Clarke Arthur C. Скачать все книги 102 Количество книг

Lorsque Vannevar Morgan arrive à Taprobane un jour de l’an 2142, cet ingénieur de génie – à qui la Terre doit déjà le Pont qui unit l’Europe à l’Afrique – est tout entier tendu vers un nouveau projet. Il veut construire un immense Transporteur Spatial qui, grâce à un réseau de cristal de diamant, reliera la Terre à l’Espace, sera comme un escalier menant aux étoiles. Ce sera le début de la civilisation interplanétaire.

Un obstacle demeure. Il n’y a pour le Transporteur qu’un seul site d’implantation possible : le sommet de la Montagne Sacrée de Taprobane. Et là, dans un monastère, des moines prient depuis un temps immémorial…

L’ingénieur et le vénérable gardien du lieu s’affrontent. Le dynamisme de la science contre la foi inébranlable, la technologie conquérante contre la sagesse sans armes...

In einer inzwischen nicht mehr allzu fernen Zukunft ist der Mensch nicht nur auf den Mond zurückgekehrt: Er hat ihn besiedelt, Stützpunkte errichtet und schließlich Städte gebaut, deren stolze Bürger bereits nach Zehntausenden zählen. Bei den Erdmenschen steht der Nachttrabant als Reiseziel hoch im Kurs. Inzwischen gibt es in Port Clavius, der ältesten Mondstadt, eine eigene Touristenbehörde, die von Direktor Davis straff und erfolgreich geführt wird. Die neueste Attraktion ist der Staubkreuzer „Selene“, kein Raumschiff, sondern eine Art Mondbus, der zwanzig gut betuchten Passagieren eine eindrucksvolle Fahrt über das „Meer des Durstes“ beschert. Da der Mond bekanntlich eine luft- und wasserlose Felsenkugel ist, wird dieses Meer von feinem Staub gefüllt, der sich allerdings unter Weltraum-Bedingungen wie eine Flüssigkeit verhält und so etwas wie eine Mond- Schifffahrt ermöglicht. — Kapitän der „Selene“ ist der Pat Harris, ein nicht besonders ehrgeiziger, aber gewissenhafter junger Mann. Unterstützt wird er von Stewardess Sue Wilkins, die aus härterem Holz geschnitzt ist. Das ist hilfreich, als die aktuelle Fahrt der „Selene“ durch ein Mondbeben unterbrochen wird, das den Kreuzer im „Meer des Durstes“ versinken lässt. Dort sitzt man fest, gefangen vom Staub, der die Kommunikation mit der Basisstation verhindert und einen Ausstieg verhindert; es gibt ohnehin nur einen Raumanzug an Bord…

The year is 2276. On the world of Titan, an outer planet of Saturn, Duncan Mackenzie and many other colonists are about to leave their homeland for bicentennial celebrations on Earth. But for Duncan, the journey is also a delicate mission for himself, his family and the future of Titan.

..Kuduz beynin imha edilmesi mümkün değildi. Değildi, çünkü ölümsüzdü. Kuduz beyin, Galaksinin sınırlarına sürülüp orada anlayamadığımız bir şekilde hapsedildi. Hapishanesi, "Kara Güneş" adiyla bilinen garip, yapay bir gezegendi. Ve Kuduz beyin hâlâ orada tutuklu bulunuyordu. Kara Güneş öldüğü zaman yeniden hürriyetine kavuşacaktı. "Kara Güneş"in ne zaman öleceğini kestirmek ise şu an için mümkün değildi...

Pour les hommes du XXIe siècle, l’Univers, semble-t-il, n’a plus guère de secrets. Délivrés de la pesanteur, ils le sillonnent à bord de leurs vaisseaux spatiaux, en utilisant comme relais des satellites artificiels.

Et pourtant un phénomène intrigue ces savants, ces techniciens, ces astronautes de l’an 2001. Quelque part du côté d’un satellite de Saturne, on a localisé une source de radiation extraordinairement puissante. Un vaisseau part pour cette mission ultra-secrète, emportant à son bord un équipage dont une partie est en état d’hibernation, et aussi Carl, Carl 9000, le prodigieux cerveau électronique qui, tout à la fois, est le navigateur, l’interlocuteur, voire le partenaire aux échecs de ces hommes.

Cette fantastique odyssée va entraîner l’Explorateur I et son équipage jusqu’à découvrir peut-être les origines et le mystère de la vie dans l’univers en même temps qu’à entrevoir ce que peuvent être les lois qui régissent toute l’immense machinerie du cosmos.

II y avait là de quoi tenter un homme de cinéma : avec la collaboration de ce très grand auteur de sciencefiction qu’est Arthur C. Clarke, le réalisateur Stanley Kubrick a conçu en Cinérama cette odyssée de l’espace qui depuis des mois stupéfie les Américains, les Londoniens et que le public français découvre à son tour.

Die erste Version dieses Romans, eine Kurzgeschichte von 12500 Wörtern, wurde von Februar bis April 1957 geschrieben und in dem amerikanischen Magazin „IF“ (Juni 1958) und im englischen Magazin „Science Fantasy“ (Juni 1959) veröffentlicht. Einfacher findet man sie vielleicht in meinen bei Harcourt, Brace, Jovanovich erschienenen Sammlungen ‚The Other Side of the Sky‘ (1958) und ‚From the Ocean, Front the Stars‘ (1962).

1979 entwickelte ich das Thema in einem kurzen Filmentwurf, der im Magazin „Omni“ (Bd. 3, No. 12, 1980) erschienen ist. Seither wurde diese Version in der illustrierten Sammlung meiner Kurzgeschichten ‚The Sentinel‘ bei Byron Preiss/Berkley (1984) veröffentlicht, zusammen mit einer Einführung, die erklärt, wie sie entstanden ist und wie sie völlig unerwartet dazu führte, daß ‚2010: Odyssee Zwei‘ geschrieben und verfilmt wurde.

Dieser Roman, die dritte und endgültige Fassung, wurde im Mai 1983 begonnen und im Juni 1985 fertiggestellt.

Bisesę Dutt, odesłaną na Ziemię 2037 roku przez tajemniczych i potężnych Pierworodnych, prześladują wspomnienia pięciu lat spędzonych na dziwnej, odmienionej Ziemi o nazwie Mir, światem poskładanym z lądów i ludzi wyrwanych z rozmaitych epok historii Ziemi. Dlaczego Pierworodni utworzyli Mir? Dlaczego Bisesę tam zabrano, a następnie sprowadzono z powrotem zaledwie w dzień po jej zniknięciu?

Pytania, jakie zadaje sobie Bisesa, znajdą odpowiedź w chwili odkrycia przez naukowców niezwykłej anomalii w jądrze Słońca, będącej dowodem interwencji obcych ponad dwa tysiące lat wcześniej. Plan nakreślony przez zagadkowych obserwatorów oddalonych o wiele lat świetlnych ma zostać zrealizowany w postaci burzy słonecznej, której celem jest likwidacja życia na Ziemi. Kiedy nad światem zawisa widmo apokalipsy, okazuje się, że różnice polityczne i religijne na Ziemi zagrażają wszelkim próbom ratowania planety. A Pierworodni przez cały czas obserwują…

La Terre se meurt et les derniers représentants de l'espèce humaine prennent place à bord du Magellan pour un voyage de plusieurs centaines d'années. Au cours d'une escale sur une planète-océan colonisée longtemps auparavant par des vaisseaux-semeurs, l'équipage du Magellan rencontre des humains pour qui la Terre n'est déjà plus qu'un lointain souvenir, une légende.

Childhood’s End is a 1953 science fiction novel by the British author Arthur C. Clarke. The story follows the peaceful alien invasion of Earth by the mysterious Overlords, whose arrival ends all war, helps form a world government, and turns the planet into a near-utopia. Many questions are asked about the origins and mission of the aliens, but they avoid answering, preferring to remain in their space ships, governing through indirect rule. Decades later, the Overlords eventually show themselves, and their impact on human culture leads to a Golden Age. However, the last generation of children on Earth begins to display powerful psychic abilities, heralding their evolution into a group mind, a transcendent form of life.

Clarke’s idea for the book began with his short story “Guardian Angel” (1946), which he expanded into a novel in 1952, incorporating it as the first part of the book, “Earth and the Overlords”. Completed and published in 1953, Childhood’s End sold out its first printing and received good reviews, becoming Clarke’s first successful novel of his career. The book is regarded as Clarke’s best novel by both readers and critics, and is described as “a classic of alien literature”. Along with The Songs of Distant Earth (1986), Clarke considered Childhood’s End one of his favourite novels.

« Il se trouvait à un moment où l’Histoire retient son souffle, où le présent se détache de ce qui a été… Toutes les réussites du passé se trouvaient réduites à néant, mais une seule pensée revenait inlassablement dans l’esprit de Reinhold comme un écho tenace : désormais l’homme n’était plus seul dans l’univers. »

L’astronef étranger s’était posé sur Terre et nul ne l’avait vu arriver. Maintenant qu’il était là, plus rien ne serait comme avant. Sans se montrer, ses occupants ne tardent pas à imposer leur volonté à l’homme. Ils exigent et obtiennent le désarmement général.

L’action des Suzerains est incontestablement bénéfique et cependant un doute terrible subsiste… Pourquoi aucun humain n’a-t-il pu les apercevoir ? L’existence de l’humanité n’est-elle pas menacée ?

Won the Nebula Award for Best Novella in 1973.

Nominated for the Hugo Award for Best Novella in 1972.

Rok 2142. Dr Vannevar Morgan, twórca Mostu Gibraltarskiego, uruchamia plany budowy wyciągu kosmicznego — gigantycznej windy do transportu ludzi i ładunków z powierzchni Ziemi na orbitę. Przedsięwzięcie ma być zrealizowane na położonej na Oceanie Indyjskim wyspie Taprobane. Jednak wybrana przez budowniczych góra okazuje się świętym miejscem, zazdrośnie strzeżonym przez tamtejszych kapłanów…

Tel un joyau resplendissant, la cité reposait au sein du désert. Elle avait autrefois connu le changement et la modification, mais le temps, maintenant, ne passait plus pour elle : jours et nuits voltigeaient sur la face du désert, mais dans les rues de Diaspar, c’était toujours l’après-midi, et le soir ne tombait jamais. Les longues nuits d’hiver pouvaient poudrer le désert de gelée blanche où se figeait le vestige d’humidité de l’air ténu de la terre : la cité ne connaissait ni chaleur ni froid. Elle n’avait aucun contact avec le monde extérieur ; elle était elle-même un univers.

Auparavant, les hommes avaient construit des villes, mais jamais aucune comme celle-là. Certaines avaient duré des siècles, d’autres des millénaires, avant que le temps ne balayât jusqu’à leurs noms. Diaspar seule avait défié l’éternité, se défendant, ainsi que tout ce qu’elle abritait, contre la lente érosion des siècles, les ravages de la vieillesse et la corrosion de la rouille.

Depuis que la cité avait été construite, les océans de la terre avaient fait leur temps, le désert recouvert le globe tout entier. Les dernières montagnes avaient été réduites en poussière par les vents et les pluies, et le monde était trop las pour en enfanter d’autres. La cité n’en avait cure. Même la Terre pouvait s’effriter, Diaspar continuerait de protéger les rejetons de ses bâtisseurs et de les transporter, eux et leurs trésors, sains et saufs sur les flots du temps.

Ils avaient beaucoup oublié, mais ils ne le savaient pas…

La llegada al Sistema Solar,hacia el año 2130, del monstruoso Rama, esa masa de cuarenta kilómetros de longitud, plantea a los científicos de la Tierra una serie de enigmas a estudiar y resolver. ¿Se trata de un astro con luz propia?

¿Es acaso un meteorito escapado del cinturón de Van Allen, o es un vehículo espacial, una aeronave tripulada por seres de una suprema inteligencia o tal vez teledirigido desde algún planeta del Cosmos infinito?

Cosmonautas y hombres de ciencia, a la par, dedican todos sus esfuerzos, todos sus conocimientos, a encontrar la solución a tales enigmas, algunos de los cuales podrán aclararse mientras que otros seguirán siendo un misterio cuando Rama, esa verdadera incógnita volante, abandone nuestro sistema planetario para hundirse de nuevo en las procelosas profundidades del insondable espacio cósmico.

Die letzte Generation (engl. Childhood’s End) ist ein Science-Fiction-Roman von Arthur C. Clarke aus dem Jahr 1953. Er thematisiert das Auftreten einer außerirdischen Rasse und das damit verbundene Aussterben der Menschheit  auf ihrer jetzigen Existenzebene. Anders als in ähnlichen Werken geht hier die Menschheit nicht durch Krieg und Zerstörung zugrunde, sondern durch die Wandlung der Kinder aller Menschen in eine andere Daseinsform und die folgende, selbst gewählte Kinderlosigkeit der Erwachsenen…

Los hombres habían construido ciudades antes, pero ninguna como Diaspar. Diaspar: porque Diaspar tenía una leyenda. Era la última ciudad construida en la Tierra por el poder de quienes también pudieron conquistar las estrellas. Pero la grandeza de Diaspar acabó desapareciendo. Desde los más oscuros límites del Universo los Invasores atacaron el imperio creado por el hombre y lo confinaron otra vez a la Tierra. Quien fuera que abandonara la Tierra caería bajo la ira de los Invasores. Esta era la leyenda de Diaspar. Una leyenda de un billón de años…

Au prix d’efforts fantastiques, les hommes sont parvenus à s’implanter sur Mars ! Un voile de mystère recouvre cette tentative et le monde ignore encore ce qui se passe sur cette planète froide et stérile.

Martin Gibson est le premier reporter autorisé à s’embarquer sur « L’Ares », qui effectue son voyage d’essai vers la colonie sidérale. Dès le décollage, la réalité dément toutes ses prévisions ; loin d’être fastidieuse comme il se l’imaginait, cette croisière ne tarde pas à lui ouvrir les yeux sur mille problèmes insoupçonnés du public. Mais les étonnements de Gibson se multiplient à son arrivée sur Mars. S’il y découvre une étrange colonie en pleine activité, il sent aussi que l’amabilité dont on l’entoure est factice. Il fait figure d’intrus, d’indésirable. Pourquoi ?

Persuadé qu’on se ligue contre lui pour dissimuler un important secret, Gibson se met en tête d’élucider cette énigme. Il n’y parviendrait pas si, au hasard d’une exploration,une singulière trouvaille ne lui valait une soudaine célébrité parmi les colons.

A mesure qu’il pénètre plus avant dans les secrets de la cité martienne, il est gagné par l’enthousiasme. Oubliant ses devoirs de reporter pour participer à l’extraordinaire bataille que les pionniers livrent contre la sauvagerie glacée de la planète, il n’informe pas la Terre de ce qu’il apprend.

Martin Gibson est lui-même conquis par ce monde désolé mais riche de promesses, au point que le retour sur sa planète natale ne lui semble plus souhaitable,

Quels sont donc les sortilèges qui enchaînent Gibson à la première cité extra-terrestre ? Pourquoi est-il devenu un autre homme ?

La réponse à ces deux questions est enfouie dans les sables rouges des déserts de Mars.

Nur noch eine Stadt existiert auf der Erde und ihre Bewohner leben in Luxus. Aber dennoch gibt es einen, der die Stadt verlassen will; und als es ihm gelingt, macht er eine verblüffende Entdeckung: Sie sind nicht die einzigen Überlebenden der Menschheit.

Kolejny tom „Kroków w nieznane” otwierają klasyczne już opowiadania Clarke’a i Keyesa. Oba weszły do monumentalnego wydawnictwa „Science Fiction Hall of Fame” — antologii najlepszych opowiadań w historii fantastyki naukowej, wytypowanych przez amerykańskich autorów. Arthur C. Clarke, człowiek o ogromnej skali zainteresowań i rozległej wiedzy, jeden z pionierów astronautyki, występuje również po raz drugi — jako futurolog. „Ryzyko prorokowania” to rozdział 2 jego głośnej (i zasługującej na wydanie w całości) książki „Profile przyszłości”. Clarke przeprowadził tu interesujący eksperyment myślowy: przed przystąpieniem do rozważań o przyszłości postarał się wniknąć w przyczyny błędów popełnionych przez niektórych proroków w przeszłości.

Odmienny styl fantastyki reprezentuje Brytyjczyk, urodzony w 1936 roku J. C. Bollard, jeden z ojców „nowej fali”. Jego poetyckie, mroczne obrazy wyrażające nastroje zagrożenia i przeczucie nieuchronnej klęski na długo pozostają w pamięci. Jak powiedział jeden z krytyków, „jego opowiadania docierają do nas z wyjątkową natarczywością, jak listy z butelek wrzuconych do oceanu, listy wymagające natychmiastowej odpowiedzi”.

Brytyjską fantastykę reprezentuje również Bob Shaw, bardzo interesujący autor średniego pokolenia, znany już naszym czytelnikom ze swego słynnego opowiadania „Światła minionych dni”, oraz John Brunner, autor wielu opowiadań i powieści, z których najbardziej znana „Stand on Zanzibar” daje panoramiczną wizję przeludnionego świata przyszłości.

James Blish jest autorem bardzo popularnym i cenionym na terenie anglojęzycznej fantastyki. Jego dowcipne i okrutne opowiadanie ze szczególną jaskrawością uświadamia problem przeludnienia.

R. A. Lafferty, jeden z najciekawszych autorów amerykańskiej science fiction, jest samoukiem z Oklahomy. Lafferty nie potrzebuje odległych planet jako tła do swoich fantazji — miejscem akcji jego opowiadań jest nasz świat, ale odbity w wyobraźni poety czy dziecka, świat pełen tajemniczych znaków i zagadkowych powiązań. Ulubionymi jego bohaterami są Indianie, Cyganie i nieznośne genialne dzieci, w których szkolą nie zdołała jeszcze zabić całościowego, magicznego widzenia świata.

Dobiegający czterdziestki Barrington Bayley jest autorem dotychczas nie znanym polskiemu czytelnikowi. Opowiadania fantastyczno-naukowe publikował pod różnymi pseudonimami od piętnastego roku życia. Bayley ma swój bardzo wyrazisty styl, wynikający z połączenia poetyckiego, nostalgicznego nastroju z wyrazistym i oryginalnym — to jest nie ogranym w literaturze fantastycznej — pomysłem naukowym.

Radziecka fantastyka poniosła ostatnio ciężkie straty: zmarli w pełni sił twórczych Iwan Jefremow oraz autor bardzo lubianych także przez polskich czytelników opowiadań — Ilja Warszawski. W krótkich formach na czoło wysunął się Kirył Bułyczow, który stworzył własny styl z połączenia realistycznej obserwacji obyczajowy, humoru i fantastyki. Jego ciekawa twórczość zostanie wkrótce przedstawiona szerzej oddzielnym tomem.

Niejednokrotnie już tłumaczony Dymitr Bilenkin to miniaturce „Nie zdarza się” doskonale ilustruje pewien, niestety dość rozpowszechniony, styl myślenia, pretendujący do miana naukowego.

Tradycyjną, kosmiczną fantastykę reprezentują opowiadania Puchowa. „Wyprawa myśliwska” wzbogaca katalog kosmicznych potworów, proponowany przez innego radzieckiego autora — Wolina. l wreszcie opowiadania rodzime, bardzo zróżnicowane stylistycznie. Obok autorów znanych i wypróbowanych, jak Konrad Fiałkowski — prezentujący początek interesująco zapowiadającej się powieści — i Janusz Zajdel, przedstawiamy dwóch młodych autorów.

Zbigniew Prostak z Przemyśla zwraca uwagę umiejętnością konstruowania fabuły tradycyjnego opowiadania, zaś Krzysztof Malinowski, znany dotychczas głównie jako tłumacz, pisze fantastykę eksperymentującą i awangardową, przypominającą doświadczenia nie tłumaczonego u nas Harlana Ellisona.

Venant de l'espace interstellaire, un objet pénètre dans le système solaire. Au début, il n'intéresse guère les astronomes et encore mois les journalistes ; les astéroïdes et les comètes caractérisés par des orbites très excentriques sont innombrables.

Mais cet objet n'est pas ordinaire. Une observation poussée montre qu'il est parfaitement cylindrique. Ses dimensions sont imposantes : une trentaine de kilomètres de long, une quinzaine de diamètre. Pour la première fois de mémoire d'homme, un navire venu d'une autre étoile traverse le système solaire.

Avec un souci méticuleux de la vraisemblance, Arthur C. Clarke rend compte de la brève exploration de Rama, la planète artificielle. Il décrit de façon étonnamment convaincante l'agencement interne d'un engin qui voyage depuis des millions d'années et qui obéit à certains principes déjà découverts par notre science bien que l'habileté de ses constructeurs dépasse de très loin nos connaissances — ou plutôt celles de nos descendants du 22 siècle.